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Le Nouvel Esprit Public

Philippe Meyer
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  • Bada : Stéphane-Antoine Therene, « monsieur LinkedIn » (1/3)
    Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne conversation entre Stéphane-Antoine Therene et Philippe Meyer, enregistrée au studio l’Arrière-boutique le 10 octobre 2025.Dans cet épisode, Stéphane-Antoine Therene nous raconte son parcours, comment il a rejoint LinkedIn il y a cinq ans et comment il l’a vu évoluer. Il détaille les spécificités de ce réseau social plus apaisé, plus lent, mais aussi peut-être plus favorable à l’auto-censure, en raison de l’absence d’anonymat.Juriste venu au numérique au cours de sa carrière pour ne plus le quitter, Stéphane-Antoine Therene a travaillé pendant presque cinq ans pour le réseau social incontournable qu'est devenu aujourd'hui LinkedIn. Fort de cette expérience au sein des rouages de la machine, il revient avec nous sur les transformations qu'a connues la plateforme depuis la crise Covid, notamment un processus d'incarnation des entreprises par leurs dirigeants, qui se mettent toujours plus en avant. Agora calme et professionnelle, arène d'émulation et d'ambition, LinkedIn est également la vitrine de cette individualisation de la société, marquée par l'importance de figures singulières, les "Top voices", cumulant des fonctions économiques, sociales et politiques. Il s'agit peut-être de totems rassurants dans un monde vacillant, il est certain en tout cas qu'elles ne sont pas près de disparaître, pas plus que le réseau qui assure leur présence et leur démonstration quotidiennes à un public de plus d'un milliard de membres.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d’analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l’actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    17:21
  • Le chamboule-tout français / Le mouvement GenZ au Maroc et dans le monde
    Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l’Arrière-boutique le 10 octobre 2025.Avec cette semaine :François Bujon de l’Estang, ambassadeur de France.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l’Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l’Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LE CHAMBOULE-TOUT FRANÇAISQuatre gouvernements en treize mois, un président affaibli, une Assemblée fragmentée : la France semble prise dans un tourbillon sans fin. La présentation, dimanche soir, par Sébastien Lecornu d'une équipe « resserrée » de 18 membres, dans laquelle les traces de la rupture annoncée n’étaient pas très apparentes a été vivement critiquée à droite comme à gauche. Lundi, en quelques heures, les Français ont assisté à la démission d’un Premier ministre, Sébastien Lecornu, nommé vingt-sept jours plus tôt, puis, en fin d’après-midi, à la désignation par le président de la République du même Sébastien Lecornu pour une mission de quarante-huit heures ayant pour but de « définir une plateforme d’action et de stabilité »., soit précisément ce que Le Premier ministre démissionnaire n’avait pas réussi à faire. M. Lecornu a accepté tout en faisant savoir qu’il ne redeviendrait pas chef du gouvernement, même dans le cas, très hypothétique, d’une réussite des discussions.Estimant qu’il existe « une majorité absolue » de députés opposés à la dissolution, Sébastien Lecornu a affirmé mercredi sur France 2 que les conditions étaient réunies pour que le président nomme un nouveau premier ministre « dans les 48 heures ». La première option pour le président de la République est donc de nommer un nouveau Premier ministre. En cas d'échec, un deuxième scénario serait une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale et un retour aux urnes. Le troisième scénario est celui d'une démission du président de la République. Une demande exprimée par l’extrême-droite, LFI, mais aussi, après l’adoption d’un budget par l’ancien Premier ministre Edouard Philippe.La situation est inédite, puisque les passations de pouvoir n'ont pas eu lieu entre les deux gouvernements démissionnaires. Dans ces cas-là, le décret publié au Journal officiel fait foi. Il a été publié dimanche soir, les ministres démissionnaires sont donc bien ceux qui ont été nommés le 5 octobre. Cette équipe devra gérer les « affaires courantes ». Aucun texte n'indique ce que peut faire, ou pas, un gouvernement démissionnaire, mais ses prérogatives sont limitées. Il s'agit de faire face aux urgences, d'assurer le fonctionnement minimal de l'État ainsi que sa continuité. Ce gouvernement peut mettre en application des lois déjà votées mais pas déposer de nouveaux projets de loi. Généralement, le Conseil des ministres ne se réunit pas en période démissionnaire.Si l’incertitude politique ne se traduit pas, à ce stade, par une crise économique aiguë, elle a toutefois déjà provoqué deux cassures dont les effets se feront sentir sur le long terme : le déclassement de la France sur les marchés, et la panne des investissements.LE MOUVEMENT GENZ AU MAROC (ET AU MADAGASCAR, AU NÉPAL …)Le Maroc est le théâtre depuis le 27 septembre de rassemblements quotidiens de jeunes protestataires − parfois mineurs − réclamant de meilleurs services d’éducation et de santé. Début octobre, des débordements violents à proximité d’Agadir ont causé la mort de trois manifestants. Face à une fièvre contestataire comme le Maroc n’en avait pas connu depuis la révolte du Rif en 2016-2017, le gouvernement semble pris de court. Parmi les jeunes urbains de 15-24 ans, la moitié est sans emploi et un quart a déserté l’école. Des marches spontanées avaient déjà eu lieu, début juillet, dans le Haut-Atlas pour l’accès à l’eau, poussant le roi Mohammed VI à manifester son refus d’un « Maroc à deux vitesses », lors de son discours du trône le 29 juillet.Le mouvement actuel est spontané, sans tête d'affiche et assez flou sur le plan des revendications. Il n’a pas de plateforme ni de programme politique, mais défend des grands thèmes sociaux. Né d’une indignation générale face à la mort de huit femmes à la mi-septembre dans un hôpital d’Agadir après des accouchements par césarienne, il s’est structuré une dizaine de jours plus tard sur le réseau social Discord sous la bannière d’un collectif GenZ 212. Une déclinaison locale (212 est l’indicatif téléphonique du Maroc) d’une génération Z − née entre 1997 et 2012 − qui a déjà fait vaciller le pouvoir au Sri Lanka, au Bangladesh et au Népal, et enfiévré plus récemment Madagascar. Connexion numérique, aspiration à la dignité et rejet de la vieille politique : la jeunesse marocaine se met au diapason d’un soulèvement transnational. Les jeunes Marocains se gardent toutefois bien de franchir une ligne rouge : la sacralité de l’institution royale. Si nombre d’entre eux réclament la démission du chef de gouvernement Aziz Akhannouch, un homme d’affaires richissime, symbole d’une oligarchie conquérante, nul n’appelle à la fin de la monarchie, malgré l’acuité des doléances sociales.Déjà électrique, le climat social n’a cessé de se tendre, à mesure que les prestigieux projets lancés dans la perspective de la Coupe d’Afrique des nations de football, qui s’ouvre fin décembre, et de la Coupe du monde de 2030 − que le Maroc coorganisera avec l’Espagne et le Portugal −détournaient les financements des priorités sanitaires et éducatives. Le régime espérait désamorcer le ressentiment populaire dans le patriotisme sportif : il s’est trompé. « Des écoles et des hôpitaux, plutôt que des stades ! », clame en substance la jeunesse soulevée. La GenZ 212 braque une lumière crue sur l’envers de la vitrine scintillante d’un Maroc « émergent ». Le coup est rude pour l’image que le royaume aime à projeter de lui-même à l’étranger. Le roi Mohammed VI doit faire un discours d’ouverture de la session parlementaire, ce vendredi.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d’analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l’actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    1:04:17
  • Bada : les questions du public (budget Lecornu et sécurité européenne)
    Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l’École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d’analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l’actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    38:00
  • Le projet de budget de Lecornu / La sécurité européenne face aux menaces russes après Copenhague
    Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l’École alsacienne le 5 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE PROJET DE BUDGET DE LECORNUUne première version du projet de loi de finances pour 2026 a été transmise jeudi pour avis au Haut conseil des finances publiques. La transmission de ce projet de loi marque le coup d’envoi du processus de discussion du budget. Le Haut conseil, un organisme indépendant placé auprès de la Cour des comptes, disposera ensuite de sept jours pour rendre son avis, destiné à être rendu public lors de la présentation formelle du budget par le gouvernement. Le texte devrait être déposé à l’Assemblée nationale au plus tard le 13 octobre, de façon que le Parlement dispose des 70 jours prévus par la Constitution pour en débattre.Le même jour, à la veille des rencontres organisées à Matignon avec le Parti socialiste et le Rassemblement national, l'entourage de Sébastien Lecornu a laissé fuiter quatre pistes de soutien au pouvoir d'achat en précisant toutefois que « rien n’est arbitré ». Il s’agirait de favoriser davantage les heures supplémentaires par une défiscalisation et un allègement des charges sociales ;d’alléger l'impôt sur le revenu des couples modestes : en améliorant le mécanisme de « décote », afin de l'aligner sur l'avantage accordé aux célibataires touchant des montants équivalents. De défiscaliser à nouveau les «primes Macron » les primes des salariés gagnant moins de trois fois le SMIC en 2026. D’encourager les dons familiaux en direction des jeunes générations.Selon le journal Les Échos, le projet de budget inclurait une « année blanche » comprenant le gel du barème de l'impôt sur le revenu et de toutes les pensions de retraite, ainsi que le relèvement du taux du « prélèvement forfaitaire unique » sur les revenus du capital. L'augmentation de la flat tax jusqu'à 36%, rapporterait 1,5 milliard d’euros. Le texte devrait comporter une mesure anti-optimisation centrée sur les holdings, certains contribuables très aisés y stockant de l'argent afin d'échapper à l'impôt. Des mesures seraient également en préparation pour lutter contre l'optimisation des Pactes Dutreil, cet outil fiscal conçu pour réduire la fiscalité des transmissions et donations des entreprises afin de préserver l'outil productif. Quant à la surtaxe d'impôt sur les sociétés, elle serait reconduite d'un an, mais son taux serait divisé par deux par rapport à celui appliqué en 2025. Son rendement attendrait ainsi de l'ordre de 4 milliards d'euros.Vendredi, le Premier ministre s’est engagé à ne pas utiliser l’article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter son budget. L’idée n’est pas nouvelle : entre 1997 et 2002, le premier ministre Lionel Jospin, à la tête d’une « majorité plurielle », avait renoncé à son usage. Si les débats budgétaires s’enlisaient à l’Assemblée, faute de majorité, la méthode Lecornu pourrait dès lors aboutir à l’élaboration d’une loi spéciale ou par le passage du budget par voie d’ordonnances, une première sous la Ve République.SÉCURITÉ EUROPÉENNE FACE AUX MENACES RUSSES APRÈS COPENHAGUEL’Europe est soumise, ces derniers jours, à une série de défis : la Russie teste la capacité de plusieurs pays du nord de l'Europe à faire face à des envois de drones sur leurs aéroports. Elle viole régulièrement l'espace aérien de certains membres de l'Otan afin de mesurer leurs capacités de défense antiaérienne. Oslo, Copenhague, Munich ont été victimes des mêmes survols de drones non identifiés, contraignant les autorités danoises, norvégiennes et allemandes à fermer provisoirement leur espace aérien au-dessus de certains aéroports. Contrairement aux Ukrainiens, les Européens n'ont guère d'expérience dans le domaine de la lutte contre les drones.Dans ce contexte, lundi, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a dévoilé, une première cartographie de la « préparation 2030 », date à laquelle l'Europe doit être prête à se défendre par elle-même en cas d'agression russe. Les analyses des services de renseignement européens convergent : dans les trois à cinq prochaines années, la Russie pourrait être en mesure d'attaquer un pays de l'Union européenne ou de l'Otan si une paix en Ukraine lui permettait de se réarmer, et si l'Europe ne pouvait pas compter sur le soutien américain. Les États membres ont identifié neuf domaines capacitaires prioritaires dans lesquels l'Europe doit combler ses lacunes d'ici à 2030 : défense aérienne et antimissile, systèmes d'artillerie, missiles et munitions, cyber et guerre électronique, drones et anti-drones, combat terrestre, capacités maritimes, mobilité militaire et « capacités stratégiques habilitantes ».En vue de renforcer la défense du continent face à la menace russe, les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne se sont retrouvés mercredi à Copenhague. Les discussions ont porté principalement sur trois axes : le développement capacitaire conjoint, les « projets phares » - comme le mur de drones ou la surveillance du flanc oriental - et la montée en puissance de l'industrie de défense européenne. Afin d’accélérer la montée en puissance militaire du continent, l’Union européenne a adopté en juin dernier le Security Action For Europe (SAFE), un instrument financier de prêts de 150 milliards d'euros. Environ 100 milliards sont alloués au flanc oriental de l’Europe : 43,7 milliards pour la Pologne, 16,7 milliards pour la Roumanie, 16,2 milliards pour la Hongrie. Cette concentration géographique reflète une réalité diverse. Chaque pays défend actuellement sa portion de frontière d'une manière légèrement différente, à l'aide de systèmes qui vont du plus sophistiqué au moins élaboré. Cette réunion sans conclusion écrite a permis de décanter des sujets qui seront finalisés les 23 et 24 octobre prochains lors du Conseil européen à Bruxelles. Objectif : combler les lacunes et favoriser des acquisitions conjointes pour lutter contre « la fragmentation de nos efforts à travers des initiatives nationales non coordonnées ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d’analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l’actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    1:04:14
  • Bada : Mathilde Davignon, éditrice de livres audio (3/3)
    Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne conversation entre Mathilde Davignon et Philippe Meyer, enregistrée au studio l’Arrière-boutique le 23 mai 2025.MATHILDE DAVIGON, ÉDITRICE DE LIVRES AUDIODans ce troisième épisode, Mathilde Davignon s’interroge sur la place de l’écoute dans la culture française. Elle rappelle que les enfants sont familiers de l’audio, qui développe leur mémoire et leur vocabulaire, mais que cette pratique s’efface à l’âge adulte, en partie à cause du préjugé selon lequel lire serait supérieur à écouter. Elle explique comment le livre audio peut créer un lien avec l’éducation, notamment grâce aux œuvres étudiées à l’école. Elle évoque aussi l’intérêt croissant pour les livres de développement personnel, de philosophie, d’histoire ou de biographies. Elle annonce la sortie prochaine de la première bande dessinée audio et réfléchit à des moyens de “rematérialiser” le livre audio pour le rendre plus visible et accessible.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d’analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l’actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    16:15

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